Infonie, Valérie bizarre etc. : remembrances de sun.dance
La connexion n'en finissait pas de connecter. Et Belgacom de collecter. Tu peux pas comprendre : c'était avant l'adsl. Ouais, y'a mille ans ! Et je t'emmerde, Kévin !
Au bout, y'avait une porte. Avec Infonie écrit dessus. Et le truc qui tue : des "forums" ! Pas ces salons fadasses où l'on cause double arbre-à-cames en tête (de noeud) ; de la Komplikator 0.36.z' du Pingouin kè-géniale-ke-lè-naze-y-konprendrons-ri1-du-tou ; ou du clebs-à-bobonne qu'est si gentil, en se faisant des politesses. Non. Des forums !
Les Trolls, là, c'était pas des cas isolés. A bien y réfléchir, y'avait que des Trolls. Même, des fois, je me demande si la majorité des Trolls qui traînent sur le Toile francophone aujourd'hui ne sont pas des ectoplasmes infoniens nostalgiques des prises de tête. Et des prises de coeur.
Parce que, Monsieur, les forums d'Infonie ça swinguait à mort, çà ! Ça clanifiait ses exécutions en ligne ; ça draguait dans les tréfonds de contibs ; ça partageait de la culture, des coups de coeur, des conneries ; ça philosophait comme BHL peut pas l'imaginer même dans ses pires cauchemars ; c'était politiquement incorrect au point que l'eau chaude que Glucksmann trimballe entre les deux oreilles se serait mise à bouillir ; ça commérait, ça clashait sec et ça se réconciliait humide. Ça vivait, quoi.
Ça pouvait pas durer. Le genre époque intermédiaire, entre les chariots dans la Prairie et Germaine qui voit des pédophiles partout en gérant ses fonds de grenier sur des sites grossiers. Comme dirait l'autre : "l'argent a tout, tout eu, tué..."
Mais je m'égare. Bref, Infonie, ça m'a laissé pas mal de choses, en plus d'une solide rancune envers Belgacom. Des grincements de dents, ruptures en fanfare. Des sourires, surtout. Des potes. Quelques amis. Des heures moins factices qu'il y pouvait paraître (...la prochaine fois, on se cause ou on refait comme si, hmmmm ? :-) Un gros parfum d'hiver, aussi, quand "Bouc-Bel-Air" est devenu autre chose qu'une chanson, petite soeur des En-allés.
Autant de sensations qui me ramènent à l'intention initiale de ce billet : vous faire connaître la ze star des sept voiles. Valérie Bezard, ça s'appelle. Première rencontre de mes premiers pas sur la Toile. J'imaginais alors la Chose grande blonde, intello, avec des gros nichons et pas de culotte. La psychanaliste perverse, quoi. Sympa. Et je ne m'étais pas trompé ! Hé, hé, hé... :o)
Pas de chance : 'ch'préfère les brunes !
Et pis, ça vous regarde pas, d'abord ! Non mais ! Contentez vous de savoir que ça écrit bien, très bien, et que ça se lit sans faim là, entre autres : Claustrophilis
Allez, bonne mumuse à tout le monde, mes plus hypocrites excuses à Val, et tendresses infoniaques aux autres ! Hep... pas la peine d'essayer de me foutre le souk dans les commentaires ! Ma censure sera abjecte ! Si, si ! :o)
Sun.dance
PS : un bisou spécial pour toi, l'hermine, si tu viens te perdre ici ;-)
Au bout, y'avait une porte. Avec Infonie écrit dessus. Et le truc qui tue : des "forums" ! Pas ces salons fadasses où l'on cause double arbre-à-cames en tête (de noeud) ; de la Komplikator 0.36.z' du Pingouin kè-géniale-ke-lè-naze-y-konprendrons-ri1-du-tou ; ou du clebs-à-bobonne qu'est si gentil, en se faisant des politesses. Non. Des forums !
Parce que, Monsieur, les forums d'Infonie ça swinguait à mort, çà ! Ça clanifiait ses exécutions en ligne ; ça draguait dans les tréfonds de contibs ; ça partageait de la culture, des coups de coeur, des conneries ; ça philosophait comme BHL peut pas l'imaginer même dans ses pires cauchemars ; c'était politiquement incorrect au point que l'eau chaude que Glucksmann trimballe entre les deux oreilles se serait mise à bouillir ; ça commérait, ça clashait sec et ça se réconciliait humide. Ça vivait, quoi.
Ça pouvait pas durer. Le genre époque intermédiaire, entre les chariots dans la Prairie et Germaine qui voit des pédophiles partout en gérant ses fonds de grenier sur des sites grossiers. Comme dirait l'autre : "l'argent a tout, tout eu, tué..."
Mais je m'égare. Bref, Infonie, ça m'a laissé pas mal de choses, en plus d'une solide rancune envers Belgacom. Des grincements de dents, ruptures en fanfare. Des sourires, surtout. Des potes. Quelques amis. Des heures moins factices qu'il y pouvait paraître (...la prochaine fois, on se cause ou on refait comme si, hmmmm ? :-) Un gros parfum d'hiver, aussi, quand "Bouc-Bel-Air" est devenu autre chose qu'une chanson, petite soeur des En-allés.
Autant de sensations qui me ramènent à l'intention initiale de ce billet : vous faire connaître la ze star des sept voiles. Valérie Bezard, ça s'appelle. Première rencontre de mes premiers pas sur la Toile. J'imaginais alors la Chose grande blonde, intello, avec des gros nichons et pas de culotte. La psychanaliste perverse, quoi. Sympa. Et je ne m'étais pas trompé ! Hé, hé, hé... :o)
Pas de chance : 'ch'préfère les brunes !
Et pis, ça vous regarde pas, d'abord ! Non mais ! Contentez vous de savoir que ça écrit bien, très bien, et que ça se lit sans faim là, entre autres : Claustrophilis
Allez, bonne mumuse à tout le monde, mes plus hypocrites excuses à Val, et tendresses infoniaques aux autres ! Hep... pas la peine d'essayer de me foutre le souk dans les commentaires ! Ma censure sera abjecte ! Si, si ! :o)
Sun.dance
PS : un bisou spécial pour toi, l'hermine, si tu viens te perdre ici ;-)